Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Victor Blondelet, pour l’année comptable 1479-1480, pendant la mairie de Jehan de Coutance, qui fait état de la rémunération du brodeur Nycolas Phelipes pour la broderie des armes municipales sur une manche de chacune des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Macé Prost, pour l’année comptable 1482-83, pendant la mairie d’Estienne Ragueneau, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Porchier et du brodeur Nicolas Phelippes pour leur intervention dans le cadre de la confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Guillaume Mesnagier, pour l’année comptable 1486-87, pendant la mairie de Pierre Burdelot, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Porchier et du brodeur Nycolas Phelippes pour leur intervention dans le cadre de la confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur André Boutet dit Denisot, pour l’année comptable 1487-1488, pendant la mairie de Jehan Quetier, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Porchier et du brodeur Nycolas Phelipes pour leur intervention dans le cadre de la confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Jehan Caloet, pour l’année comptable 1488-1489, pendant la mairie de Macé Papillon, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Porchier et du brodeur Nycolas Phelippes pour leur intervention dans le cadre de la confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Jehan Caloet, pour l’année comptable 1489-1490, pendant la mairie de Guillaume Leclerc, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Porchier et du brodeur Nycolas Phelippes pour leurs travaux de confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Jehan Penigault, pour l’année comptable 1492-1493, pendant la mairie de Nycole Charetier, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Robin Porchier et du brodeur Nycolas Phelippes pour leur travail de confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Jehan Penigault, pour l’année comptable 1492-1493, pendant la mairie de Nycole Charetier, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Robin Porchier et du brodeur Nycolas Phelippes pour leur travail de confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Pierre Penigault, pour l’année comptable 1494-1495, pendant la mairie de Jehan Bernard, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Porchier et du brodeur Nycolas Phelippes pour leur travail de confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Jehan Caloet, pour l’année comptable 1496-1497, pendant la mairie de Jehan Sainctier l’Aîné, énumérant les dépenses municipales faites pour la confection des robes offertes traditionnellement par la ville, à Noël, comprenant l’achat des tissus auprès du marchand Guillaume Mesnaigier, la couture des robes par Martin Jouye, la fourniture par Jehan Gallant le Jeune de l’orfèvrerie servant à Nycolas Phelipes pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chaque vêtement.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Jehan Caloet, pour l’année comptable 1497-1498, pendant la mairie de Thomas Bohier, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Gallant et du brodeur Nicolas Phelippes pour leur travail de la confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extraits des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Jehan Caloet, pour l’année comptable 1497-1498, pendant la mairie de Thomas Bohier, qui font état de la rémunération du brodeur Nicolas Phelippes pour l’exécution de fleurs de lys richement brodées sur les robes offertes par la ville aux clercs nouvellement nommés, et pour la broderie de la manche de la robe de la trompette municipale, puis de la rémunération d’un peintre anonyme pour la réalisation de 38 écussons municipaux destinés à décorer les torches portées en l’honneur des funérailles de monseigneur Guyon, ancien abbé de Marmoutier.
Extraits des registres de comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Martin du Lyon, pour l'année comptable 1478-1479, pendant la mairie de Loys de la Mezière, qui font état des dépenses effectuées par la municipalité pour la réalisation de robes pour les clercs de la ville par différents artisans de la ville.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Jehan de Montbason, pour l’année comptable 1480-81, pendant la mairie de Jehan Loppin, qui fait état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Porchier et du brodeur Nycolas Phelipes pour leur travail de confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir fourni les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur une des manches de chacune des robes.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Guion des Bordes, pour l’année comptable 1481-82, pendant la mairie de Gervaise Goyet, faisant état de la rémunération de l’orfèvre Jehan Porchier et du brodeur Nycolas Phelippes pour leurs interventions respectives dans la confection des robes offertes annuellement par la ville à ses nouveaux clercs, le premier pour avoir confectionné les éléments d’orfèvrerie employés par le second pour broder les armoiries municipales sur l’une des manches de chacune des robes.
Eugène Giraudet indique dans sa notice sur Nicolas Phelippes qu'il est cité dans tous les registres comptables de la ville de Tours entre 1482 et 1496. Or, la première mention apparaît dans le compte de l'année 1478-79 tandis qu'il disparaît des registres après celui de l'année 1497-98.