Art de la Renaissance en Val de Loire

Pascale Charron est maître de conférences en Histoire de l’art du Moyen Âge à l’Université François Rabelais de Tours, rattachée au Centre d’Etudes Supérieures sur la Renaissance (CESR). Spécialiste des arts de l’image du XV^e siècle, elle étudie selon des approches croisées l’enluminure, la peinture sur panneau, la tapisserie et le vitrail. Elle a été l’une des commissaires des expositions Tours 1500, capitale des arts (Tours, 2012) et Trésors enluminés des musées de France (Angers, 2013).

Professeur en histoire de l’art à l’université François Rabelais de Tours, Marion Boudon-Machuel a porté une ANR sur la sculpture française des XVI^e-XVIII^e siècles, et dirige actuellement Sculpture 3D tout en collaborant au projet ARVIVA (CESR). Elle s’intéresse à la sculpture française, italienne et flamande des XVI^e et le XVII^e siècles, des artistes et des foyers de production, à la singularité de cet art en lien avec la peinture et l’architecture.

Historien, chercheur associé au CESR depuis 2012, David Rivaud axe ses recherches sur les villes et les pouvoirs urbains entre les XV^e et XVI^e siècles dans le Centre-ouest du royaume de France. Au sein d’ARVIVA il collabore à la recherche documentaire dans les fonds d’archives régionaux et est relation avec le projet RENUMAR (CESR) qui doit accompagner le  développement de la base De minute en minutes.

Gilles Kagan est photographe, diplômé de l’ENSP, il dirige depuis 1991 l’équipe Images, une composante du Pôle numérique de L’Institut de Recherche et d’Histoire des Textes (IRHT). Egalement chargé de cours pour des étudiants préparant le master Pro au CESR de Tours, il donne régulièrement des formations en France ou l’étranger sur Photoshop et dans le domaine des techniques de numérisation : de l’acquisition des données à leur diffusion sur Internet. Il a obtenu le cristal du CNRS en 2006.

Béatrice Markhoff a obtenu son doctorat en informatique à l’Université de Franche-Comté en 1995 et son HDR en informatique à l’Université François Rabelais de Tours en 2013, où elle est maître de conférences. Ses thématiques de recherche portent sur l'interopérabilité des données et en particulier les systèmes d’intégration de données sémantiques. Elle applique ses recherches dans le domaine du patrimoine culturel en collaborant avec différentes équipes de chercheurs en sciences humaines, dont celle d'ARVIVA.

Adel Ghamnia a obtenu sa licence en Informatique à l'Université d'Oran (Algérie) et son Master en Bases de Données et Technologies Web à l'Université de Poitiers. Il a rejoint durant 10 mois le Laboratoire d'Informatique de l'Université de Tours en tant qu'ingénieur du projet ARVIVA, dans lequel il a conçu et développé un outil collaboratif de collecte et de gestion des données, en étroite collaboration avec ses utilisateurs. Aujourd'hui, Adel prépare un doctorat en Informatique à l'Institut de Recherche en Informatique de Toulouse.

Historienne de l’art, ancienne conservatrice des œuvres graphiques au Centre de restauration scientifique Igor Grabar à Moscou, Anna Baydova a soutenu en 2017 un doctorat à l’École Pratique des Hautes Études sous la direction de Guy-Michel Leproux, sa thèse portant sur le rôle des peintres dans l’illustration des livres imprimés à Paris de 1530 à 1580. Dans le cadre du projet ARVIVA, elle est responsable de la recherche sur les œuvres d’art (repérage, photographie, analyse, recherche bibliographique, étude, etc.).

Ingénieur d’études chargé des recherches archivistiques du programme ARVIVA, Jérôme est doctorant en histoire sociale au CESR, sous la direction de M. Benoist Pierre et la codirection de M. Alain Salamagne. Ses recherches portent sur l’implantation territoriale et sociale des officiers des finances en Touraine, principalement au travers du cas de Gilles Berthelot, maître à la chambre des Comptes et seigneur d’Azay-le-Rideau (av. 1489-1529).

Le travail de recherche de Jean Beuvier, mené sous la direction de Marion Boudon-Machuel, porte sur l’ornement à la Renaissance. Après un premier travail consacré à l’ornement sculpté du tour de chœur de Notre-Dame de Chartres (1521-1535) il explore cette année les différentes pistes dégagées en Master 1 sous l’angle de la circulation des modèles entre France et Italie.

Actuellement en doctorat sous la codirection de Marion Boudon-Machuel (Université de Tours/CESR) et d’Alexandre Maral (École du Louvre), Antoine Maës a participé au projet VITRAIL en tant qu'ingénieur d'étude au cours de l'année 2019. 

Charlotte Fuchs est doctorante au Centre d’Études Supérieures de la Renaissance (UMR 7323). Elle travaille actuellement en histoire sous la direction de Pascal Brioist. Ses thèmes de recherche sont les représentations du couple et l’histoire du mariage à l’Époque Moderne. Elle est également attachée de conservation du patrimoine sur la liste d’aptitude du CDG 21.

Auteur d'un mémoire consacré aux baies 6 et 8 (fin du XV^e siècle) de l'église Notre-Dame-la-Riche à Tours sous la direction de Pascale Charron, Morgane Malenfant s'intéresse désormais à l'apport du numérique dans la médiation culturelle. Titulaire d'un M2 « Patrimoine Culturel Immatériel » au CESR, son travail a comme objectif de valoriser un patrimoine par la création de dispositifs numériques muséographiques.

Maître de conférences HDR à l'Université de Nantes

Membre junior de l’Institut Universitaire de France