Gillet Bongent nous est connu que par le registre des comptes municipaux de l'année 1482-1483 qui fait état de sa rémunération le 9 octobre 1483 pour la réalisation d'un poinçon pour marquer les "batz" des charbonniers de la ville.
Extrait des registres des comptes des deniers communs de la municipalité de Tours, tenus par le receveur Macé Prost, pour l’année comptable 1482-83, pendant la mairie d’Estienne Ragueneau, dans lequel est fait mention de l’exécution par l’orfèvre Gillet Bongent d’un poinçon pour marquer les « bastz » des charbonniers.